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Conclusion:

En Conclusion, l’identité sexuée est quasi-complètement construite par la société, qui dicte les normes définissant les deux sexes. Cette bipartition est en réalité artificielle, car de nombreuses personnes souffrent de la dysphorie du genre et/ou ne se sentent pas complétement appartenant à l’un ou l’autre. Ceci est en raison d’une exagération des critères définissant les deux sexes, qui à la place d’être strictement biologiques, s’étendent dans la sphère socio-culturelle et vont jusqu’à opposer les deux sexes, créant des problèmes de déséquilibre et de discrimination.

 

Toutefois, cette différenciation est une nécessité car elle représente le principal schéma cognitif utilisé par toutes les sociétés pour permettre aux individus qui la composent de mieux comprendre leur environnement. À travers cette différenciation, les individus ont un sentiment d’appartenance, qui est indispensable à leur fonctionnement en société, car ils ont le sentiment d’y contribuer.

 

Mais de nos jours, on voit la réémergence de l’androgyne. Nos sociétés modernes cherchent à supprimer ce déséquilibre, cette discrimination des deux sexes, en fusionnant les critères de différenciation pour créer un être unisexe, androgyne qui englobe la masculinité et la féminité. Cette nouvelle « mode » n’est pas encore assez répandue, mais serai peut-être la solution pour supprimer les nombreuses inégalités et stéréotypes qui sont la cause de plusieurs troubles, et empêchent partiellement l’évolution et l’épanouissement de notre société.

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